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Note : PITUMTHJ
<p>"Finalement, la connaissance actuelle ne peut se séparer des consciences où elle se reflète au présent et des processus d'apprentissage individuels d'où elle part et où elle revient. Cette dimension subjective de la connaissance ne peut évidemment par être "gérée" comme une chose ou une situation objective par une quelconque autorité extérieure. Elle relève du for intérieur, c'est-à-dire du désir d'apprendre et de partager, du travail sur soi des individus ou de la discipline autonome des personnes." p. 100</p> -
Note : PHXGPPTQ
<p>"La systémique regroupe les démarches théoriques, pratiques et méthodologique relative à l'étude de ce qui est reconnu complexe. Un système comme tel pose en effet des problèmes de frontières, de relations internes et externes, de structure, de lois ou de propriétés émergentes, comme des problèmes de mode d'observation, de représentation, de modélisation, de simulation et de stratégie. [...] Elle se situe au carrefour de l'épistémologie, de la science, de la technologie, en ouvrant des perspectives originales d'action" *AFCET, 1989, p. 1" p. 16</p> -
Note : PHSPCPPV
<p>"Appréhender la conversion numérique2depuis cette seule entrée revient surtout à ramener l’Internet au seul plan du support, lui-même considéré dans une logique instrumentale. Or c’est dans sa dimension « écologique » qu’il convient aujourd’hui de penser le numérique, c’est-à-dire en tant qu’écosystème ou environnement. C’est dans ses effets d’interactions, de continuum et d’enveloppement qu’on mesurera le mieux comment ce qui n’était d’abord perçu que comme une « nouvelle technologie » a finalement configuré un milieu de vie." p. 3<br /> </p> -
Note : PHJ8UZXF
<p>"Voilà évidemment un paradoxe extrême, qui donne son identité au néo-libéralisme : il s'agit de construire quelque chose et donc de développer un point de vu normatif sans que ce qui est construit, sans que le cadre qui est établi, n'implique d'aucune manière la possibilité de définir une responsabilité pour le comportement des sujets qui soit extérieure à ces comportements." p. 6</p> -
Note : PHAVJIVT
<p>"<strong>La classification</strong> comme elle est définie par [le dictionnaire encyclopédique 1988] de la terminologie des bibliothèques et de l'information, est la façon d'identifier les relations générales ou spécifiques entre les produits de l'information, sans tenir compte du degré de l'ordre hiérarchique utilisé et de la manière d'utilisation de ces méthodes, que ce soit automatique ou manuelle [Elshhami, Hassaballah 1988].</p> <p>La classification est également définie comme un système codé dont une série de symboles réfère au concept et au sens linguistique." p. 27</p> -
Note : PGFV78TF
<p>"Afin de contrecarrer les approches réductionnistes de la subjectivité, nous avons proposé une analyse de la complexité à partir d'un objet écosophique à quatre dimensions :</p> <p>- des Flux matériels, énergétiques et sémiotiques ;</p> <p>- des Phylums machiniques concrets et abstraits ;</p> <p>- d'Univers de valeur virtuels ;</p> <p>- de Territoires existentiels finis." p. 172</p> -
Note : PFI98727
<p>"de faculté naturelle liée à la capacité d’intuition et de perception des formes, la pensée devient d’abord la capacité de reconnaissance des caractères puis ensuite la capacité de distinguer des marques. Les trois niveaux dégagés par Hilbert décrivent donc un parcours sémiotique singulier qui fait passer de la forme spatiale intuitionnée au caractère typographique matériel, parcours rendu possible par une auto-restriction finitiste de la pensée par elle-même et par une assimilation de la notion de forme à celle de signe d’abord puis par une restriction la notion de signe à celle de marque ensuite." p. 50</p> -
Note : PEJZTDQH
<p>"Ce n'est qu'à travers la médiation externe d'un modèle que les unités et les transformations syntaxiques qu'elles subissent peuvent endosser un sens ou une signification". p. 34</p> -
Note : PEJ88CQX
<p>"L'enquête ressemble d'abord à celle sur les actes de langages" p. 29</p> -
Note : PDGMJ63A
<p>"Un système symbolique consiste en un schéma symbolique mis en relation avec un domaine de référence. Bien que nous ayons vu (chapitre II) qu'un symbole peut ou non dénoter ce à quoi il fait référence, je m'ocupe dans ce chapitre de dénotation plutôt que d'exemplification." p. 179</p> -
Note : PCW4ZFSU
<p>"Un divorce s’est donc peu à peu créé entre un cadre d’interprétation épistémologique lié à un certain état relativement daté de la science (relevant de la première moitié du 19ème siècle essentiellement) et les transformations de la science, en particulier de la science physique, puisque les grandes avancées de la physique depuis Kant se sont fondées sur la grande fécondité des notions de groupe et de symétrie et non plus sur la notion de loi causale déterministe au sens de la mécanique classique." p. 11</p> -
Note : PCVZ89TF
<!-- @page { margin: 2cm } P { margin-bottom: 0.21cm } --> <p style="margin-bottom: 0cm;">Comment évaluer la complétude ???</p> <p style="margin-bottom: 0cm;">Comment on pose la question ???</p> -
Note : PCVEMJTQ
<p>« un système symbolique se dit complet pour une interprétation si tout ce qui est valide dans le cadre de cette interprétation est dérivable du système symbolique. En d'autres termes, les pleins de la réalité doivent se retrouver dans le système symbolique pour qu'il y ait complétude, tandis que les pleins du système symbolique doivent se retrouver dans la réalité pour qu'il y ait cohérence. » p. 62</p> -
Note : PCLMERMD
<p>"La fabrication d'un outil est donc le premier exemple d'un processus mental de modélisation dont le résultat matériel, l'instrument, est un corps solide dont la forme a été dictée par des exigences dynamiques, celles de l'action de l'instrument sur son objet. En ce sens, l'outil n'est guère qu'un verbe solidifié." p. 362</p> -
Note : PCDBTA2R
<p>""Account", indexicalité et réflexivité s'imposent comme les trois concepts clés de l'ethnométhodologie [...] ils s'ordonnent comme une triade (un objet : l'account, et ses propriétés d'indexicalité et de réflexivité)" p. 74</p> -
Note : PC75ZT3H
<p lang="zxx" xml:lang="zxx">"l'outillage conceptuel produit en Occident finit d'envahir le monde, <em>via</em> la science et la technique. "p. 298</p> -
Note : PBTFMF4Z
<p>"Dans cette perspective, la compréhension des phénomènes écologiques s’explique en termes de relations considérant que les composants peuvent agir les uns avec les autres mais aussi les uns sur les autres. À la différence d’une approche systémique, le principe central de l’approche écologique consiste à identifier, pour les humains, les raisons et conditions pour lesquelles ses relations sont possibles et transforment les propriétés de l’environnement pour offrir de nouvelles possibilités (Haeckel, 1870 ; Möbius, 1877)." § 4</p> -
Note : PBQCKIGJ
<p>"Le refus des "ontologues" informaticiens de considérer les dimensions multiples de la signification, les condamnent à ne jamais pouvoir analyser correctement les usages qui sont fait de leurs formalismes, ceux-ci restant souvent, de ce fait, assez peu utiles." p. 187</p> -
Note : PBCTSTHP
<p>"Le problème est qu'un langage par images s'appuie d'habitude sur la conviction qu'une image représente les propriétés de la chose représentée, mais, les propriétés d'une chose étant nombreuses, l'on peut toujours trouver un point de vue sous lequel l'image peut-être jugée semblable à quelque chose." p. 197</p> -
Note : P9S43T4R
<p>"Comme mentionné ci-dessus, l’individu est à lui seul une forme d’écosystème (il est une structure auto-organisée - autopoïétique - dont les composants physiologiques interfèrent dans un contexte homéostatique). Il est une pièce du puzzle de son système social, lequel est une pièce de l’écosystème global. Dans la mesure où les structures sociales sont assimilables à des structures de type écosystème (cf. citations de S. Frontier ci-dessus), elles sont comme ces dernières, des structures dissipatives auto-organisées. Les structures sociales sont alors à considérer comme des sous-écosystèmes faisant partie de l’écosystème global qu’est notre planète. Nous les appellerons « sous-écosystèmes sociaux »." p. 91</p> -
Note : P9K3EIXU
<p>"Le facteur d'impact <em>If </em>d'une revue scientifique mesure la fréquence avec laquelle, pendant une année donnée, l'article "moyen" d'une revue est cité dans les articles d'autres revues. C'est le rapport entre le nombre de citations reçues par une revue pendant une année et le nombre d'articles publiés pendant les deux années précédentes" p. 7</p> -
Note : P9FEXNH2
<p>“même en prenant en compte une série limitée de propriétés, on peut déterminer une parenté entre deux choses qui n’ont rien de commun entre elles” p. 371</p> -
Note : P8XFD3WW
<p lang="fr-FR">"... les qualités essentielles de l'allégorie sont la ressemblance parfaite de l'image avec l'objet ; de manière que la première rappelle promptement l'autre, et la force esthétique de l'image [...] il ne faut pas qu'elle soit poussée trop loin, il ne faut pas y mêler l'expression propre de la chose même : ces deux défauts la rendroient absurde" p. 215</p> -
Note : P8KJUT6C
<p>"D'un coté, nos conceptions dépendent de nos sens, car nos concepts seraient différents si notre appareil sensoriel était différent ; d'un autre côté, nos perceptions dépendent de nos concepts, car ceux-ci constituent les filtres à travers lesquels n'importe quel stimulus issu de notre environnement aboutit à notre conscience." p. 213</p> -
Note : P6GQNSTR
<p>"Bateson distingue notamment trois niveaux d'apprentissage: un apprentissage de niveau 1 (ou apprentissage primaire) consiste en la réception d'un stimulus véhiculant une information qui tranche sur une attente<br />préalable dans un cadre conceptuel donné (une différence reçue), et donne lieu à une réponse qui tranche sur celles fournies précédemment par l'entité cognitive concernée (une différence émise), tout en restant dans un ensemble donné possibilités (un cadre conceptuel donné); un apprentissage de niveau 2 (ou apprentissage secondaire) consiste en l'installation ou le<br />renforcement du cadre conceptuel de l'entité et de l'ensemble de possibilités de réponses que renferme ce cadre, suite à une séquence d'apprentissages de niveau 1: si celui-ci consiste à apprendre, celui-là consiste à apprendre à<br />apprendre en installant ou en renforçant un filtrage préalable de l'information véhiculée par le précédent; quant à l'apprentissage de niveau 3 il mène l'entité concernée à changer son cadre conceptuel de réception des stimula<br />et modifie simultanément l'ensemble de ses possibilités de réponses consécutives à de nouveaux stimuli relevant du niveau 1 d'apprentissage — il consiste donc en une restructuration des croyances de l'entité considérée." p. 20</p>