Recherche
2644 items
-
Note : KVAPHH9N
<!-- @page { margin: 2cm } P { margin-bottom: 0.21cm } --> <p style="margin-bottom: 0cm;" lang="fr-FR">« Pour le sujet capable (le sujet de capacité), l'activié cognitive est subordonnée et, d'une certaine façon, gouvernée par l'agir, alors que pour le sujet connaissant les rapports de subordination sont inverses : c'est l'agir qui est subordonné aux finalité cognitives » p. 12</p> -
Note : KURAM8GT
<p>"L'intelligence collective humaine (le dialogue des milieux d'expérience) engendre et connecte les deux moitiés du symbole naturel : elle plonge "en-bas" dans le pôle de l'interaction matérielle au moyen de son expérience sensible, ancrée dans les corps et, au-delà, dans l'interdépendance biosphèrique ; elle rejoint "en-haut" le pôle intelligible de la sphère sémantique par sa capacité collective de manipulation des signe." p. 85</p> -
Note : KUHF2IHE
<p>"A l'heure actuelle, les critériologies permettant de définir de manière relativement claire les épreuves de validation et de légitimation des savoirs sont remises en cause de manière brutale." p. 29</p> -
Note : KU6RPGNZ
<p>"Le premier principe, de nature phénoménologique, consiste à reconnaître le caractère préconceptuel de la reconnaissance des signes écrits ; Hilbert (1926) [...] C’est cette attention quasi typographique portée aux signes écrits qui assure la traductibilité rendant possible la réduction de toutes les axiomatiques à l’axiomatique dite « formelle »" p. 59</p> -
Note : KTR6E7PP
<p>"l'ingénierie des connaissance porterait sur les inscriptions comprises comme des productions matérielles de l'esprit destinées à l'interprétation, interprétation conduisant à des connaissance que l'on veut élaborer, transmettre ou encore acquérir et mobiliser." p. 13</p> -
Note : KT2GVRI8
<p>"La prégnance de ce modèle de graphe peut induire une erreur théorique : celle qui consiste à assimiler l'organisation matérielle du plan de l'expression (plus exactement la part technique de celle-ci) au processus de construction du sens. Le lecteur n'est pas confronté au script informatique." p. 175</p> -
Note : KSFSUWEM
<p style="margin-bottom: 0cm;">« Tout est symbole, que ce soient les couleurs, les notes de musique, les chiffres ou les lettres. On ne peut sortir du domaine des symboles car c'est le langage universel. » p. 239</p> -
Note : KSBPVKTR
<p>Si vous souhaitez participer à la rédaction de ce texte, il vous suffit d'envoyer vos remarques, en précisant le cas échéant le numéro du ou des paragraphes auxquels elles réfèrent, à pedauque@enssib.fr. Votre message sera envoyé au forum Pédauque qui regroupe tous les contributeurs et vous serez inscrit à ce forum. Si vous êtes déjà abonné au forum, il vous suffit d'envoyer le message à la liste selon la procédure habituelle. Ce forum est consacré uniquement à la discussion scientifique sur la notion de document. Seuls les messages s'inscrivant dans cette perspective seront pris en compte. Les simples demandes d'inscription, ou les annonces sans contribution seront rejetées. Le forum sera clos au 30 juin.</p> -
Note : KS8QH2RI
<p>"même si la figuration analogiste est parfois d'un saisissant réalisme, elle ne vise pas tant à reproduire avec fidélité un modèle naturel objectivement donné qu'à restitué la trame des affinités au sein de laquelle des entités réelles ou imaginaires se trouvent insérées et acquièrent de ce fait une qualité d'agent." p. 165</p> -
Note : KRTFLI26
<p>"le caractère fixé et autotrophe des plantes implique une plus grande nécessité de s'adapter à leur environnement. Cela se manifeste d'une part par une grande capacité de modification de leur milieu (construction de niche) et d'autre part par une grande capacité de transformation de son propre corps, c'est ce qu'on appelle la plasticité végétale (elles est à la fois morphologique, mais aussi épigénétique).</p> <p>Or ces caractéristiques se révèlent déterminantes pour favoriser une pensée plus écologique de la biologie. [•••] On est alors conduit à penser l'organisme et son milieu en termes de co-construction et non plus simplement selon un déterminisme causal et unidirectionnel." p. 305</p> -
Note : KRKRMR2M
<p>"Il s'agirait de travailler, de façon progressive, à la constitution d'un système de comptes sociaux généralisés et articulés : ceux-ci devraient indiquer les mesures possibles et souhaitables, même lorsque, pour des raisons diverses, elles ne sont pas encore effectives. La concrétisation d'un tel système sous la forme d'une "comptabilité sociale internationale" dépendra essentiellement de la volonté des acteurs politiques et du débat démocratique." p. 21</p> -
Note : KREGUIGR
<p>"1. Le monde qui existe physiquement est décrit par une ontologie.<br />2. Le monde des idées est décrit par une épistémologie.<br />3. Une phénoménologie établit une correspondance entre une ontologie et une épistémologie." p.95</p> -
Note : KNU79D9Z
<p>"Une langue naturelle (et en général un système sémiotique) se compose d'un plan de l'expression (pour une langue naturelle nous dirons un lexique, une phonologie et une syntaxe) et d'un plan du contenu qui représente l'univers des concepts que nous pouvons exprimer. Chacun de ces plans se compose de forme et de substance, et tous les deux résultent de l'organisation d'une matière ou continuum." p. 35</p> -
Note : KMI9R9HN
<p>"Cette vision de ce nœud gordien à la limite de la possibilité de la connaissance est le jaillissement fondamental de l’interrogation inhérente à toute forme de savoir. Question « originaire », mais peut-être simplement question jamais irréductible à une tension vers la réponse. L’homme n’a peut-être jamais pensé qu’en fonction <br />d’une énigme à partir de laquelle il a été contraint de déployer sa conscience. La toile des savoirs techniques et discursifs se tisse de questions et de réponses, mais <br />l’énigme se tend vers autre chose : une courtepointe se forme autant de ses mailles que de sa laine. Sans doute la pensée réflexive ne s’est jamais développée qu’à partir de ce constat : « je sais que je ne sais pas ». " p. 29</p> -
Note : KL5SDT72
<p>"... les ingrédient fondamentaux de l'art des jardins (la triade du <em>locus amoenus</em> du Moyen Age, le végétal, l'eau, le minéral mais aussi, plus profondément, une partie de l'inspiration antique avec l'eau jaillissant de la grotte..." p. 192</p> -
Note : KKXUP4TE
<p>ne pas concevoir de hiérarchie du tout</p> -
Note : KKNQ984C
<p class="western">« Les scientifiques ne se contentent pas de lire le grand livre de la Nature ; ils le déchiffrent, le décodent, le transcrivent, le traduisent en une foule d’énoncés inscrits dans des argumentations qui se coulent dans des récits. Mettre l’univers en mots est la tâche essentielle du scientifique. » § 35</p> -
Note : KJZCT3K4
<p>"2. Si vous demandez ce que c'est que d'être instruit, sachez que c'est de connaître la différence des choses, et de pouvoir les désigner ou les nommer chacune par leur nom." p. 45</p> -
Note : KJUQXAAM
<p>"Il ne faut donc pas comprendre les formes symboliques comme entrant dans un schéma où des stades auraient le général pour but ultime mais bien plutôt comme des couches génériques pouvant s’exercer dans une multitude de directions. La généralité relèverait plutôt alors de l’articulation avec d’autres couches génériques de nature technique, au premier rang desquelles on doit placer la technique de l’écriture." p. 28</p> -
Note : KJ5H29PF
<p>"comme compositeur, je devrais cesser de faire des choix et me consacrer à poser des questions; les réponses nées du hasard ouvriront mon esprit au monde extérieur" p. 64</p> -
Note : KIM8H5DF
<div data-schema-version="6"><p>« La différence entre le haut et le bas de cette échelle n’est pas une affaire de goût mais de choix consciemment poursuivi. » §13</p> </div> -
Note : KIDICDZS
<p>"Le parallélisme spinoziste, sous sa forme la plus simple, ne dit rien d'autre : il ne s'agit pas de nier l'existence de la pensée "pure", mais de faire remarquer que l'accés à cette pensée, même "pure", opère toujours en corrélation à des manifestations spatiales" p. 37</p> -
Note : KH7ZA9TJ
<p>"Le <em>topos</em> du crayon, nous dirait Aristote, c'est son contour immobile. Celui-ci le borne, autrement dit circonscrit son être. Dans cette définition affleure la conception aristotélicienne de l'identité des choses, qui a fondé en Occident la logique du tiers exclu." p. 145</p> -
Note : KGHFC2ZW
<p>"Un schéma symbolique est analogique s'il est syntaxiquement dense ; un système est analogique s'il est syntaxiquement et sémantiquement dense. Les système analogiques sont donc à la fois syntaxiquement et sémantiquement indifférenciés au dernier degré : pour tout caractère, il en existe une infinité d'autres tels que, pour une marque donnée, il ne nous soit pas possible de déterminer si la marque n'appartient pas à tous, et tels que pour un objet, il ne nous soit pas possible de déterminer si l'objet ne concorde pas avec tous. Un système de cette sorte est à l'évidence l'antithèse même d'un système notationnel." p. 196</p> -
Note : KGAAXU6C
<p>"Si elle tend vers une totalité, l’allégorie doit se résoudre à n’en présenter que les traces, signes d’une transcendance avortée. On pense bien sûr au dogme chrétien de l’Incarnation comme union de l’éternel et du temporel à laquelle renvoie l’écriture symbolique, du côté de l’« instant mystique » et de l’intuition fulgurante, et à laquelle a renoncé l’écriture allégorique au sens où l’entend Benjamin." p. 104</p>