Recherche
2644 items
-
Note : HPCEVZEJ
<p>"Peirce substitue partout, dans son arbre des sciences, le préfixe -scopie (observation de) à -logie (discours sur). La philosophie est donc appelée par lui cénoscopie, c’est-à-dire koïno-scopie (observation de ce qui est commun), opposée à l’idio-scopie (l’observation des choses propres à chaque domaine) 26 . Peirce ne donne pas de dénomination similaire aux mathématiques, mais on pourrait l’appeler, selon le même principe, holo-scopie (observation de tout) ou, mieux encore, dynamo-scopie (observation des possibilités)." p. 111</p> -
Note : HNPDC9KS
<p>"I have come to the conclusion that much can be learned about music by devoting oneself to mushroom." p. 274</p> -
Note : HNFJKUNH
<p>"L'idée directrice de Lakoff et Johnson est simple : loin d'être une simple figure de style à l'usage des poètes, des littéraires et des rhétoriciens, la métaphore est le mode naturel d'organisation conceptuelles pour l'être humain. Les notions trop abstraites pour être appréhendées directement le sont par des métaphores, qui sont indispensables pour comprendre, raisonner et prendre des décisions." p. 59</p> -
Note : HMPP7A6Q
<p>"There are two major opinions when it comes to defining DE. One is defined from the structural and functional perspective, which sees Digital Ecosystem as an open-source network environment for business mainly including small and medium enterprises to interact with others in an effective and efficient way [Ferronato, 2004]. Another one is defined by Digital Ecosystem and Business Intelligence Institute (DEBII) from the perspective of specialization, which sees it as “an open, loosely coupled, domain clustered, demand-driven, self-organizing, and agent-based environment which each species is proactive and responsive for its own benefit and profit” [Chang and West, 2006]." p. 12</p> -
Note : HMEG7IN3
<p lang="fr-FR">"Tout les rhétoricien, de l'antiquité à l'époque moderne, s'accordent à définir l'allégorie comme une figure qui consiste à dire une chose et à en faire comprendre une autre. [...] Cicéron en donne cette définition dans l'Orator 94 : " lorsque plusieurs métaphores s'écoulent de façon continue, le discours devient tout autre ; c'est pourquoi les Grecs appellent ce genre allégorie" " p. 14</p> -
Note : HMDPF39T
<p>"Dalgarno comprend qu'une langue universelle doit envisager deux aspects : une classification du savoir, qui est l'oeuvre du philosophe (plan du contenu) et une grammaire qui organise les caractères de telles sortes qu'ils se réfèrent à des choses et des notions établies par cette classification (plan de l'expression)." p. 264</p> -
Note : HKP887PS
<p>"l'analogie qui nous apparaît au début et au terme de la connaissance, en est à la fois le moyen et la fin." p.140</p> -
Note : HIVP8ZT4
<p>"Selon Liebniz, "les âmes en général sont des miroirs vivants ou images de l'univers des créature...". il les distingue d'une part des esprits, qui sont des "images de la Divinité même, capables de connaître le système de l'univers et d'en imiter quelque chose par des échantillons architectoniques, chaque esprit étant comme une petite divinité dans son département", et d'autre part des corps, ceux-ci agissant "selon les lois des causes efficientes ou des mouvements", cependant que les âmes agissent "selon les lois des causes finales par appétitions, fins et moyens"." p. 89</p> -
Note : HIFSEP6M
<p>"La noosphère est en nous et nous sommes la noosphère." p. 241</p> -
Note : HIFIRNST
<p>"il est très dangereux que la légitimité de cette autorité cherche à s'appuyer symboliquement sur un sous-réseau scientifique dominant et sur le langage de bois particulier (théories économiques, théories de l'histoire, etc.) de ce sous-réseau." p. 176</p> -
Note : HHPIRH9S
<p>"The interpretant is thus the active principle of the semiosis in that it establishes the link between the representamen and what the representamen refers to. We know that this functional configuration opens an unlimited semiosis process: the interpretant, as a sign, calls to others interpretants, and so on, endlessly." p. 22</p> -
Note : HHP7AEIX
<p>"L’arbre, parce qu’il met à plat une combinatoire avec d’autres symboliques et d’autres imaginaires produit une hiérarchie des cas possibles et continue à travers l’histoire de symboliser l’ordre taxinomique. Il ne faut pas croire que la forme de l’arbre est restée inchangée ou que ce qui a changé n’est que son point d’application. L’arbre du Moyen Age est pourvu de racines qui participent autant que les branches et les feuilles à la classification des objets. La circulation des flux dans cet arbre ne va pas que des racines aux feuilles. La forme elle-même change. Au fil des siècles, les racines disparaissent et à l’âge classique les arbres n’ont plus qu’une racine unique, voir plus de racine du tout. Ce qui change n’est pas le point d’application, mais l’opératoire qui est associée à l’arbre en tant que diagramme." p. 140</p> -
Note : HGS5Y7SH
<p>"Bertram Claude Brookes, en 1980, pose « l’équation fondamentale » de la relation entre information et connaissance ainsi : K(S)+∆I =K(S+∆S) où la structure de la connaissance K(S) est changée en une nouvelle structure K(S+∆S) par l’information ∆I. ∆S caractérise donc l’effet de la modification (Le Coadic, 1994)."p. 26</p> -
Note : HGQZ9DWP
<p>"Cette notion d’interrelation dans l’analyse systémique détermine le regard que l’on porte sur les acteurs ciblés, à savoir dans notre cas, le couple « professeur documentaliste / professeurs de discipline ». Nos travaux ont permis de dégager quatre principaux types d’interrelations à savoir : <br />- l’effet « feed-back » au sens « d’information en retour fournie par les sorties d’un système et susceptible d’en modifier ses entrées » (Durand, 1983); <br />- les relations directes de type relation « immédiate » de cause à effets, par laquelle le récepteur élabore une réaction en fonction de l’intention d’un émetteur. Il va sans dire que la réaction peut être décalée de celle initialement envisagée par l’émetteur ; <br />- la relation asynchrone dite « temporelle » faisant que face à une première action ou démarche en T0 de l’émetteur, la réaction se fera dans un laps de temps plus long (en T1) reposant sur une stratégie ou une démarche réflexive du récepteur <br />entraînant la réaction à la sollicitation initiale ; <br />- enfin, l’interrelation « indirecte » réalisée par une tierce personne, pouvant parfois donner lieu à un tiers « caché » (Charaudeau, 2004), comme dans notre étude par un professeur coordinateur, un formateur relais, etc. " p. 72</p> -
Note : HFZCNN58
<p>"La forme sémiotique de restitution et la forme physique de restitution sont donc les deux faces d'une même pièce : la forme physique correspond au substrat matériel de la forme perçue, la forme sémiotique correspond à la forme perçue en tant qu'elle signifie pour un code de signification donné." p. 175</p> -
Note : HFETA84C
<p>"In Difference and Repetition (G. Deleuze , 1994) Gilles Deleuze proposes a concept of becoming that is largely based on the Simondonian idea of individuation. Individuation means passage from a pre-individual field to an individuated one. Deleuze specifies this passage as from a virtual plane to an actual one or in terms of a transformation from the virtual plane to its actualization." p. 4</p> -
Note : HEKHWJEG
<p>"C'est l'épistémologue Imre Lakatos qui est à la base de cette distinction au sein des connaissances scientifiques entre deux sortes de connaissances, qu'il a appelées <em>connaissance-noyau</em> (correspondant à cette partie de la connaissance à laquelle nous sommes le plus attachés et que nous n'abandonnerons qu'en désespoir de cause), ou "connaissance dure ", et <em>ceinture protectrice</em> ou "connaissance molle" (soft knowledge). Si, comme le fait Naït Abdallah, on suit l'idée de Quine selon laquelle "la science ne se substitue pas au sens commun, mais au contraire en propose une extension", alors cette différence s'applique aussi bien au raisonnement commun." p. 28</p> -
Note : HEHPXFMJ
<p>"Le meilleur prétendant pour organiser les connaissances pour notre dispositif est l'ontologie (Desmoulin et Grandbastien, 2002) car elle est proche de l'organisation des connaissances en mémoire, avec l'inclusion sémantique (Bever et Rosenbaum, 1970) qui organise les relations entre connaissances et l'inclusion de classes qui permet l'intégration des catégories comme connaissance (Cordier, 1993; Poitrenaud et al. 2005). Elle prend en compte tous les paramètres ou propriétés présentes dans le discours, ce qui permet de rendre compte des différents point de vue sur une connaissance ou de ses différents accès (Tijus, 2001)" p. 234</p> -
Note : HDSXWI3B
<p>"Le terme de folksonomie, néologisme issu de la contraction des termes anglais « folk » et<br />« taxonomy », initialement proposé par [Vander Wal 07] désigne des pratiques d'indexation de contenu à l’aide de mots-clés, les tags, choisis librement par les usagers du système. Les folksonomies sont fondées sur un triptyque composé par l’objet étiqueté, l'étiquetage, et l'identité de l'étiqueteur. Celui-ci s'établit dans un environnement partagé et ouvert : l'information ajoutée par un individu est mise à la disposition de tous les membres appartenant au même réseau social. A ce titre les systèmes à base de folksonomies s'appuient sur les principes du web 2.0 et plus particulièrement sur les notions de partage, de développement collaboratif et d'intelligence collective." p. 2</p> -
Note : HDC9LWKE
<p>"Au dessus du sujet, au-delà de l'objet immédiat, la science moderne se fonde sur le projet. Dans la pensée scientifique, la méditation de l'objet par le sujet prend toujours la forme du projet." p.34</p> -
Note : HB6CT7C8
<p>"En prenant en compte leur fluctuations, leurs turbulences, et, prioritairement leur périodicité, l'observatoire-pilote s'affranchit de la pensée linéaire, toujours réductrice pour tenir compte du processus non linéaire, propre au déroulement des phénomènes." p. 27</p> -
Note : HB2IM6NR
<p>"Confondre accès et référence serait en effet oublier que le lien symbolique usuel entre mots et choses ne nécessite aucunement de se voir implémenté d’une quelconque manière. Nul besoin d’avoir recours à des moyens d’ordres techniques pour qu’un mot atteigne son objet, aucun artefact n’y pourvoira" p. 3</p> -
Note : H97QF53N
<p>"le fil conducteur de ce texte sera de comprendre systématiquement la mesure de l‟information apportée par un événement comme un nombre de questions nécessaire pour identifier cet événement" p. 4</p> -
Note : H5FIGFZU
<p>"La place du lecteur constitue un des noeuds de l’herméneutique. Ce noeud est désigné par l’expression « liber et speculum », traduisant un double rapport entre le livre et le “miroir” : parce que « c'est notre expérience qui explicite le mystère contenu dans le texte » mais aussi que « nous nous découvrons dans le miroir des mots » (Ricoeur, 1969, p. 377)." p. 7</p> -
Note : H4UTRXDM
<p>"La nouvelle frontière se trouvait désormais dans l'intériorité cognitive de notre espèce." p. 23</p>